L’humain ce bipède parlant se
croit incroyablement fort
Et parfois même intouchable jusqu’à
ce qu’il croise le chemin de la mort
Alors certains deviennent humbles
quand d’autres font la sourde oreille
Combien croient que tout tourne
autour de l’oseille ?
Comme si ça pouvait les protéger
ne serait-ce que de la maladie
Leurs gémissements à la fois de
souffrances et d’incompréhension sont une bien triste mélodie
Mais un avertissement pour les
autres, ceux qui se croient si importants
Et qui ne perçoivent pas la
bénédiction que c’est d’être bien portant
Chaque chose en son temps et un
jour ils croiseront le chemin de la mort
Et comprendront peut-être à quel point
ils avaient tort
Le chemin de la mort, l’emprunter
est de nous tous le sort
Faible ou fort, nul ici-bas ne
peut échapper à ce sort
Leçon de la vie, leçon du maître
des cieux pour nous ramener à la raison
Et pour nous demander de sortir
du royaume des cons
L’humain à cause de ses
inventions « fabuleuses » se prend pour un dieu
Et même rêve comme son « maître
à penser » de détrôner le maître des cieux
Il croit que lui dans la création
il peut faire mieux
Incroyable alors que le monde ne
se porte pas mieux
Que les enfants autistes se
multiplient comme le nombre d’enfants déjantés
Il veut créer de toute pièce un « royaume
enchanté » ? Crois-moi il va vite déchanter !
Les maladies auto-immunes et les
curieuses épidémies vont lui faire comprendre la profondeur de sa bêtise
Et les crises à la fois
économiques, écologiques et épidémiques vont devenir sa hantise
Le chemin de la mort, l’emprunter
est de nous tous le sort
Faible ou fort, nul ici-bas ne
peut échapper à ce sort
Leçon de la vie, leçon du maître
des cieux pour nous ramener à la raison
Et pour nous demander de sortir
du royaume des cons
Nous sommes de passage ici-bas n’est
pas encore assez évident ?
Nous ne sommes ni maîtres de l’espace,
ni du temps
Ni de certaines réalités qui dépassent notre entendement
Nous pouvons nous bercer d’illusions
comme les concepteurs du Titanic
Mais un obstacle imprévu se
dressera devant nous et ce sera la panique
Nous avons une conscience mais l’arbre
de la connaissance du bien et du mal nous attire tant que nous ne l’écoutons pas
Des promesses de jouissances
éphémères nous poussent à faire des faux pas
Tu sais ce qui arrive à celui qui
n’apprend pas
Celui qui quand le Très Haut
parle n’entend ou ne comprend pas
Qui cherche des raccourcis qui
mènent inéluctablement dans une impasse
L’histoire nous a donnés
tellement de leçon, gare à nous si nous faisons sur celles-ci l’impasse
La faucheuse attend patiemment à
un point précis de notre chemin
Et nul ne peut dire avec précision
quand sonne l’heure de sa fin
Et on devait comprendre que tant
de choses que nous faisons sont en vain
Commentaires
Enregistrer un commentaire